Qu'est-ce qu'un meneur à Dissident?
Est-ce un dribbleur incorrigible? Un quaterback à la passe laser ? Un chef de meute? Un joueur d'échec qui place ses pions? Un pitbull qui harcèle l'adversaire? Ou juste le chouchou du coach?
Vous le saurez en parcourant cette section qui regroupe tous les meneurs qui ont joué pour les Sirens.
De la moufle à Einstein, vous constaterez que le concept a évolué au fil des saisons.
Gautier "la moufle" Galante
Le meneur des Origines
C'est un meneur à l'ancienne qui portait peu la balle. C'était préférable vu qu'il ne savait pas dribbler.
Il doit son surnom, la moufle, en référence à Gary Payton (The Glove).
Une défense "Portes ouvertes" et un tir à ne pas montrer dans les écoles complétaient sa panoplie.
Sa carrière s'arrête quand il est décidé que les Sirens se mettraient à pratiquer le basket ball.
Ferran "Fefe" Antich
Le chouchou des infirmières
Recruté pour 10 000 $ et un bocal de cornichons, Fefe était un espoir du basket andorran. Sa formation est supervisée par le sélectionneur U21. Il participera à 8 matchs officiels avec cette sélections après son transfert.
A Dissident, sa progression est intéressante. L'idée est d'en faire un meneur de grande taille.
Ses premières performances sont prometteuses. Son caractère battant en fait un des chouchous du public.
Pendant une saison et demi, Fefe donne son corps sur le terrain. Malheureusement, il est rattrapé par les blessures. Après deux coups d'arrêt, Vito prend la décision de le transférer sans faire de plus-value.
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Cihan "Callahan" Barkan
Le pétard ambulant
Recruté pour 11 000 $ et un paquet de chips, Callahan est l'unique défenseur de l'équipe, un des rares shooteurs qui peut prendre feu.
Mais il n'est pas très régulier, si ce n'est pour sécher les entraînements.
Suite à une embrouille autour d'une histoire de pizza avec Gonzo Capozza, il quitte Dissident.
Sa carrière est une succession de contrats de courte durée. Courte, comme une mèche reliée à un explosif instable.
Emilis "Sid" Vežiavicius
Le faux Espoir
Sid est acheté 1 000 $ à une équipe turque. Il fera le chemin inverse une saison plus tard.
Ces deux transferts ont été passés au crible par le BITOF, le Bureau d'Investigation des Transferts Outrageusement Frauduleux. Le dossier a été classé sans suite.
Sur le terrain, Sid démontre des qualités de dextérité et d'adresse tout à fait intéressantes.
Mais le staff des Sirens s'aperçoit que l'âge affiché sur ses papiers ne correspond pas à la réalité. Au lieu des 19 ans annoncés, il en aurait 23, voire 35.
Il est donc transféré. Il serait reconverti dans l'expertise et le commerce du parchemin médiéval.
Giacomo "Gonzo" Capozza
L'Homme des Pom-poms
Les Sirens cherchaient un meneur capable de scorer et de défendre un minimum. Vito décide de lâcher l'oseille. Il met 200 000 $ sur la table (et quelques coups de pompes en dessous) pour recruter Gonzo.
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Il ne sera pas déçu. Le joueur n'est pas aussi dominant que prévu, mais il entraîne toute sa troupe derrière lui. C'est un meneur dans l'âme plus que dans la technique. Nommé capitaine, il montre la voie sur le terrain et après les matchs. C'est lui qui gère les tickets de shoot et les invitations au Fucking Blue Dragon.
Après 7 saisons de bons et loyaux services, il prend sa retraite tout en restant au service de son équipe de coeur.
Jonas "Tico" Jeacock
Le tôle black
En fin de saison 42, Petar Iliev veut compléter son effectif avec des jeunes à fort potentiel. Il obtient la signature du jeune Tico, un joueur libre sur le marché. Il en coûte 270 000 $ à un Vito convaincu que ce sera le futur meneur de la franchise. En effet, Tico est un pur talent venu de Nouvelle Zélande.
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Le gamin est culotté, il signe quelques bonnes entrées. Il est repéré par le sélectionneur U21. Mais ses performances sont en dents de scie. Ou plutôt en tôle ondulée, comme disait Coach Iliev. Son manque de dureté ne correspond pas à la philosophie du coach. Ses passes décisives atteignent plus souvent les loges que ses équipiers.
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En fin de saison 44, les Sirens ont besoin de cash. Tico est revendu pour 416 000 $
Juozas "Tree" Zarunskis
L'arbre qui se cache en forêt
Une fois encore, le poste de meneur est dépourvu. Les vétérans qui pouvaient dépanner à la mène sont partis et les jeunes sont encore trop tendres.
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Coach Iliev veut un organisateur qui défend. Il repère un Lituanien qui coche les cases. Il reste 10 jours avant le premier match de championnat.
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Une fois de plus, Vito dit banco contre 600 000 $, le transfert record pour Dissident. Effectivement, le Juozas Tree distribue et défend. Mais son tir est à peine meilleur que celui de la moufle. Les défenses s'adaptent très vite. Tree se rend tous les jours sur le playground boisé, près de la station d'épuration, pour travailler son tir. Mais il a déjà 28 ans, les progrès sont faibles.
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Dans une conférence relevée, Tree participe au maintien et au développement des jeunes. Mais sa place de meneur est parfois confiée à un certain Apollon, bien plus dangereux en attaque.
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Finalement, il est revendu 500 000 $ en fin de saison à Abolichany, une franchise croate dans laquelle il poursuit une longue carrière.
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Franck "Einstein" Pradeilles
Le cerveau
Franck est un ancien espoir qui n'a pas tenu toutes ses promesses. A 21 ans, il débarque chez les Sirens contre 100 000 $ et une caisse de cidre doux. Trop soft, trop lent, pas assez habile de ses mains, ni shooteur, ni passeur...
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Mais le staff croit en lui car c'est le seul joueur de l'équipe à battre Vito aux échecs. Cette faculté ainsi que son allure étrange lui valent le surnom de Franck "Einstein". Sur le terrain, il s'affirme comme un extérieur percutant. Sa progression se termine en apothéose avec un titre de Champion de Ligue III.
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Après cinq saisons pleines, jugé un peu court pour la Ligue II, il est transféré en Italie contre un chèque de 1 578 000 $. C'est la plus grosse plus-value du club.
Kristiaan "Big Bro" Broeders
Le grand frère
A la recherche d'un meneur expérimenté et scoreur, Coach Vlad met la main sur Big Bro, 33 ans et encore toutes ses dents.
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Dès son arrivée, il enchaîne les matchs et les victoires. La saison démarre sur les chapeaux de roue. Il surprend les meilleures défenses comme Galaxy Team ou Marseilleveyre. Sur 20 matchs, il franchit 8 fois la barre des 20 points.
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Finalement, pour soulager les finances du club, Big Bro est transféré deux semaines avant la demi-finale. Jusqu'au bout, il tutore Einstein qui prendra le relais en playoffs. Si le jeune meneur devient peu à peu une fine gâchette, il le doit beaucoup à Big Bro.
Zlatan "Ibra" Karamarko
Le patriarche ou le gardien du bocal
Au début de la saison 47, les Sirens sont à la recherche d'un meneur qui sait mettre la balle sous le coude, qui sait défendre et faire la faute quand il faut faire la faute, qui sait ne pas prendre un panier à 3 pts sur la truffe dans la dernière minute.
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La perle rare est trouvée en Espagne. Il s'agit de Zlatan Karamarko, un joueur croate expérimenté. Ce n'est pas un scoreur, ni un grand passeur, ni un énorme défenseur. Mais c'est un spécialiste du QT4, le genre de tueur au sang froid qui vous plie un match l'air de rien.
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Sa campagne de playoffs de la saison 47 reste dans les mémoires. Il gère la mène de main de maître. Une seule balle perdue en 120 minutes de playoffs. Qui dit mieux?
A la fin de la série, Vito a déclaré : "Si un jour, je devais mettre mes couilles dans un bocal, je pourrais confier le récipient à Ibra."
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Il célèbre le titre avec Dissident et joue même encore quelques matchs en Ligue II avant d'être transféré dans le cadre d'un rajeunissement complet de l'effectif.
